EPTB Eaux & Vilaine "Hydro-Clim"

EPTB Eaux & Vilaine "Hydro-Clim" (2023-2026)

Modélisation climat-hydrologie adaptée à la gestion de la ressource en eau et à l'intégration des scénarios d’usages

À propos du projet

Financement : EPTB Eaux et Vilaine
Coordinateur : INRAE
Partenaires : INRAE, EPTB Eaux et Vilaine
Durée : 2023-2026
Contact :  Maria-Helena Ramos 

Dans le contexte du changement climatique et des besoins croissants d’adapter l’usage de l’eau dans les différents bassins français, plusieurs établissements publics territoriaux de bassin (EPTP) ont lancé ou sont en train de lancer des études dites « HMUC (Hydrologie, Milieux, Usages et Climat) ». Ces études visent à améliorer les connaissances concernant la ressource en eau et ses usages sur un territoire de gestion. Elles s’appuient sur une démarche globale qui vise à prendre en compte le changement climatique [climat] et ses impacts sur l’eau [hydrologie], ainsi que les demandes en eau des activités humaines telles que l’alimentation en eau potable de la population et/ou l’agriculture [usages] et des écosystèmes [milieu]. 

Dans le cadre du projet LIFE REVERS’EAU – Identifier les impacts du changement climatique sur la gestion de la ressource en eau et mise en place d’outils adapté (2023-2027), l’EPTB Eaux et Vilaine souhaite mettre en place un plan d’adaptation pour pérenniser l’ensemble des usages de l’eau du bassin versant de la Vilaine à long terme, avec une attention particulière portée sur la partie sud-est du bassin, comprenant les sous-bassins du Don, de la Chère et de l’Isac.

Dans ce contexte, des actions sont programmées, à la fois sur le plan scientifique (amélioration de la connaissance), opérationnel (actions concrètes d’adaptation), écologique (préservation des milieux) et sociétal (pérennisation des usages). 

INRAE contribue au volet scientifique. Il s’agit d’examiner les données et méthodologies disponibles pour construire un cadre de modélisation pertinent et robuste, permettant d’évaluer la vulnérabilité de la région d’étude au risque de sécheresse en fonction de ses conditions hydro-climatiques et des usages de l'eau.

Photo EPTB